En quoi vous changez le monde ?
La philosophie de la coopérative a connu une évolution notable depuis sa création.
Au départ centrée sur le développement des ruches urbaines, la coopérative limite aujourd’hui volontairement son nombre de ruches montréalaises à cinquante devant l’absence de données
probantes permettant d’affirmer que l’introduction de nombreuses colonies d’abeilles domestiques en ville n’a pas d’impacts négatifs sur les populations d’abeilles et de pollinisateurs indigènes
(actuellement, plus de 192 espèces d’abeilles sauvages ont été recensées à Montréal, et plus de 350 au Québec. Normandin, 2014).
Pour réellement aider les abeilles, leur permettre de se nourrir et de vivre dans un environnement optimal, Miel Montréal veille à la création d’habitats adaptés et favorables à la biodiversité.
Souhaitant protéger aussi bien les abeilles domestiques que tous les pollinisateurs sauvages qui ont élu domicile dans nos villes, les jardins offrent abris et ressources à tous les insectes
pollinisateurs.